BatÔjazz 2017 du 1^er au 10 septembre 2017

Philippe Angelo Maria Codecco « ANGELO MARIA » Philippe Codecco - pianiste, compositeur, arrangeur, issu d’une génération Rock, se passionne pour la musique à l’adolescence. Autodidacte, après un parcours musical atypique, il étudie nombre de formes musicales. Il compose très jeune pour la chanson, le cinéma, le théâtre, et participe à diverses expérimentations musicales. Parallèlement à ses activités de compositeur, il se produit sans cesse sur scène dans de nombreuses formations, dont le groupe La Strada, avec lequel il signe quatre albums chez B.M.G et WARNER. Il enchaînera tournées nationales et internationales jusqu’en 2000. Depuis, il se consacre toujours à sa même passion pour la musique, la création et la scène, les rencontres et projets avec des artistes de cultures diverses. Il nous présente ici son nouvel opus « Angelo Maria », un titre évocateur « Afromando », projet aux Rythmes afro et mélopées traditionnelles contemporaines. Sa culture très éclectique va au-delà des formats conventionnels, mais si on devait Classer Angelo Maria, on pourrait l’inscrire dans le courant World music aux sonorités afro jazz. Comme il se plait souvent à le dire « si j’aime la musique savante je l’aime populaire ».

L’histoire commence en 2010 sous l’impulsion de Geoffrey Grangé (Basse/Chant) et Quentin Lavy (Batterie).

Le duo s’inspire de l’affaire criminelle « L’Auberge rouge » pour écrire son premier scénario.

Cinq titres seront enregistrés sur un vinyle produit par « PUZZLE » intitulé « Le coupe-gorge » sorti en 2011.

En 2012, une nouvelle histoire est racontée, celle de « Karl » : Un homme atteint par le syndrome de Korsakoff. Karl ne se souvient plus de son passé, et est amené à croire des choses qui ne sont pas arrivées. Le duo se transforme alors en trio avec l’arrivée de Marie-Claude Condamin, violoncelliste et auteur des textes pour cet album. L’album « Karl - Life In Little Bits » sort le 15 mars 2013 sur « PUZZLE » et « Juste une Trace ». Très bien accueilli par la presse et le public, l’album a donné lieu à de nombreux concerts (deux tournées en France) et passages radios.

En 2014, le projet se transforme en collectif d’artistes pour la réalisation du nouvel EP « Le Projectionniste ». L’EP, sorti le 15 décembre 2014 est une révélation. Salué par la critique, le projet et récompensé par Jazz RA (sélection émergence 2015-2016) et lauréat Tremplin européen de Jazz d’Avignon 2015.

Le groupe présentera la suite de l’histoire en septembre 2016 avec la sortie de l’album « Ghost train».

Musiciens

• Geoffrey Grangé : composition, basse / chant
• Quentin Lavy : batterie
• Romain Barret : guitare
• Marie-Claude Condamin : violoncelle, texte, histoire
• Christophe Blond : piano, Fender Rhodes
• Diego Fano : saxophone
• Guillaume Pluton : trompette & arrangements
• Paco Andreo : euphonium, trombone

C’est cette image là que le guitariste et compositeur Francis Larue véhicule en créant Cissy Street, avec le profond désir de respecter et perpétuer ses grands amours musicaux. Car la danse, les musiques rythmiques, le ressenti corporel, les cultures plurielles issues des métissages avec l’Afrique, constituent des aspects centraux de cette musique autant que le jazz, le rock, et leur héritage.

 

 

Attention, ça va groover !!

Musiciens :

• Francis Larue : guitare, compositions
• Vincent Périer : saxophone
• Yacha Berdah : trompette
• Etienne Kermarc : basse
• Hugo Crost : batterie

Il nous présente en ouverture de BatÔJazz, un quartet original et nouveau autour de la chanteuse lyonnaise Célia Kaméni, et revisite, grâce à des arrangements originaux quelques standards de jazz comme «You’re my everything », « Caravan », « Bye bye blackbird » ou « there will be no Love dance », de Grégory Porter ».

La dimension spatiale de leur interprétation, le raffinement harmonique et mélodique mis dans tous les thèmes qu’ils touchent est un vrai bonheur pour l’oreille.

Un quartet dans un esprit résolument soul et jazz avec une sensibilité créatrice autour du duo Alfio Origlio et Célia Kaméni

Musiciens:

• Célia Kaméni : voix
• Zaza Désiderio : batterie
• Brice Berrerd : contrebasse
• Alfio Origlio : piano et arrangements.

Donny McCaslin est aujourd’hui le leader de ce quartet qui a enregistré (avec Ben Monder à la guitare) le fameux Blackstar de David Bowie, paru deux jours avant sa mort. Bouleversé par la perte de son ami, le saxophoniste californien a aussitôt enregistré l’album « Beyond Now » pour lui rendre hommage.

Après des scènes aussi prestigieuses, que Jazz à Vienne, Montreux Jazz festival, Jazz à la Villette, BatÔJazz accueille avec fébrilité, et impatience ce groupe New-Yorkais, qui sans nul doute rendra un hommage appuyé au trop tôt disparu, David Bowie.

Ne trainez pas pour réserver vos places, ce concert à la rencontre du magnifique lac du Bourget sera, à n’en pas douter, une expérience extraordinaire pour artistes et spectateurs !

Musiciens :

• Donny McCaslin : saxophone
• Jason Linder : piano, clavier
• Tim Lefebvre : basse
• Mark Guiliana : batterie

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Homme de rythmes, homme de l’ombre, mais figure incontournable de la scène musicale métissée, Mokhtar Samba,  a accompagné les musiciens les plus prestigieux et emblématiques de la rencontre des styles et des cultures tels Joe Zawinul, Jaco Pastorius, Youssou N’Dour, Carlos Santana, Carlinhos Brown, Eddy Louis, Jean Luc Ponty, Manu Dibango, Richard Bona, et bien d’autres. Depuis ses débuts, Mokhtar Samba s’est révélé un infatigable explorateur de sonorités nouvelles mêlant avec génie, harmonie occidentale, rythmes africains et mélopées bédouines. Une quête rigoureuse et entière en forme de « Graal musical » : celle d’une musique sans frontière, capable de hisser le patrimoine des cultures qu’il incarne vers un Universel qui parle au cœur de chacun. Une forte inspiration mandingue, souvenir de ses expériences avec Salif Keita, Kante Manfila, Ousmane Kouyaté et Cheikh Tidiane Seck, les arpèges lumineux de la kora, les volutes lancinantes des bardes sahéliens ainsi que les arabesques des voix nourrissent, avec les improvisations jazz et les réminiscences classiques, le répertoire de ce « batteur des grands ».

 

Dans la foulée de son magnifique album solo « Dounia » -qui signifie « Le monde » en arabe - Mokhtar joue sur scène avec, entre autres, l’extraordinaire chanteur sénégalais Woz Kaly (Xalam, Touré Kunda), le bassiste N’Doumbé Djengué (Fémi Kuti) et le très inspiré Jean-Philippe Rykiel (Youssou N’Dour) pour délivrer une musique jubilatoire et généreuse dont les architectures musicales sophistiquées sont toujours au service de l’émotion pure.

Riche de toutes ces expériences, Mokhtar Samba publie un album remarquable « Racines », ou les standards comme « Impressions », « Milestones » ou « Straight No Chaser » se fondent dans la richesse des percussions africaines. C’est notre Disque du Jour !

C’est ce projet, qu’il vient nous présenter à BatôJazz. Encore une soirée d’exception, qui dans les chaudes couleurs de cette fin d’été risquent de nous faire voyager vers des contrées inconnues.

Leur dernier album « Welcome home » est composé de 10 titres qui envoient sévère entre funk testostéronée, math-rock éthéré et riffes gorgés de groove. (Jazz news).

Depuis leurs débuts, OZMA nous fait voyager. On pense à un Coltrane invité en guest, d’un « Rage Against The Machine », ou encore à un Bill Frisell s’accoquinant aux meilleures fanfares de la Nouvelle Orléans. Car l’improbable est l’essence d’OZMA : d’abord une mixture généreuse, créative, jubilatoire, excitante et surtout aventureuse, risquée et captivante, autant pour les connaisseurs avisés que les néophytes curieux.

OZMA c’est également 15 années des voyages et de rencontres en globe-trotters boulimiques, plus de 250 concerts sur 4 continents, des projets collaboratifs au Burkina Faso avec des musiciens mandingues en 2008, au Népal en 2009, au Canada en 2010, l’incroyable spectacle transcontinental OZMA et Darpana crée au Gujarat en 2012 avec des musiciens et danseurs indiens, “20 !” en Afrique du Sud en 2014, sans oublier le grand ensemble OZMA Orkestrâ créé avec 6 soufflants additionnels sur leur terre Alsacienne.

OZMA se délecte !

Musiciens :

• Tam de Villiers : guitare
• Julien Soro : saxophones
• Guillaume Nuss : trombone
• Edouard Séro-Guillaume : Basse
• Stéphane Scharlé : batterie